Cette semaine, j'ai parlé du syndrome du PEI sur un coup de tête... Je crois que cela dépend beaucoup de la cohorte, mais les gens de mon année ressemblent beaucoup à la description. Mon but n'était pas de "bitcher" le PEI mais bien d'exprimer mon début d'exaspération face à l'insécurité de certains. Et les "certains" en question semblaient tous provenir, d'après mon observation très personnelle et non scientifique, du PEI (et la même école d'où j'ai graduée).
Mais ils ont aussi plein de qualités dû à leur insécurité et à leur perfectionnisme, que je n'ai pas.
Ils ne recommencent pas souvent un projet dû à leurs oublis.
Ils sont organisés et structurés.
Ils savent mener à bien un projet de long échéance.
Ils savent se projeter dans le futur.
La plupart peuvent faire plus qu'une chose à la fois.
Ils planifient de manière réaliste et arrivent aux échéances fixées.
L'international m'a aussi apportée beaucoup. Je suis mieux organisée (même si c'est loin de la perfection), le programme m'a redonnée le goût d'être à l'école, à favoriser mon ouverture d'esprit, ma curiosité, en plus de m'apprendre beaucoup et au rythme que j'avais besoin
J'avais simplement besoin de faire cette précision, merci.
P.S Mon partenaire est arrivé hier matin avec le même matériel que j'avais préparé, même si j'étais la responsable de cette journée, parce qu'"il avait peur que j'oublie". Chose que je n'ai encore jamais faite. C'était très gentil de sa part... mais... grrr !!!
jeudi 7 juillet 2011
mardi 5 juillet 2011
Le syndrome du PEI
Voici une petite observation que j'ai eu le bonheur de vérifier auprès de mes collègues du secondaire ainsi que des cohortes après moi. J'ai fait le programme d'étude international (PEI). Mon partenaire de camp de jour est une jeune qui étudie aussi au PEI. Je dirais que la plupart des étudiants de ce programme ont développé le syndrome de PEI.
C'est simple, ils sont tellement habitués d'avoir raison et d'être méga-supra en avance qu'ils ont la phobie de se tromper. Ils sont tellement encadrés, "brainwashés" et donc convaincus qu'il n'y a qu'une seule vraie méthode qu'ils sont incapables de penser en dehors de la boîte, en dehors de la procédure.
Ça fait des jeunes super organisés, connaissant et efficaces, mais si peu créatifs, débrouillards et adaptés à l'imprévu.
Exemple, aujourd'hui, nous étions des supers-héros, du moins, pour le matin. Les jeunes adorent ça, nous aussi. Je suggère de garder la thématique pour l'après-midi.
Réponse spontanée de mon partenaire ?
"Mais là, nos jeux ne sont pas de la bonne thématique !"
Parce que simplement modifier les noms des jeux ne se pouvaient pas...
Autres exemples, je planifie une semaine de camp avec plusieurs personnes, dont des gens du PEI. La grille donnée a une erreur, je suggère donc de prendre la grille de l'année dernière, puisque c'est la même, sans erreur, simplement avec une année différente.
Réaction unanime et spontanée ?
"On peut pas, il faut prendre cette grille là !
-Oui, mais elle a une erreur...
-On doit prendre celle-là !"
Incapable de simplement être accepté de changer une année. De prendre une initiative.
Je suis habituée de faire mes choses en demandant le moins d'aide possible aux coordonnateurs, je sais qu'ils sont débordés. Mon partenaire doit vouloir les appeler 5 à 6 fois par jour.
Pour être sûr de ne pas se tromper, de ne pas avoir tort.
J'étais comme cela aussi avant, je me guéris.
Tout ça pour dire que se tromper, surtout au camp de jour, ce n'est jamais la fin du monde. Au pire, tu te trompe et tu ne recommences plus. Je trouve se syndrome très dommage, parce que ce sont des jeunes extrêmement brillants qui ne savent pas comment réagir dans le vrai monde... Je trouve ça triste que les enseignants du PEI n'encouragent pas plus l'autonomie (du moins, là où j'allais, lorsque j'y allais) afin de ne pas perdre l'intelligence de ces jeunes. Parce que l'intelligence, ce n'est pas simplement la connaissance d'un sujet, c'est aussi d'être capable de réagir aux imprévus, d’interagir avec les autres et de mettre en pratique ce que l'on sait...
C'est simple, ils sont tellement habitués d'avoir raison et d'être méga-supra en avance qu'ils ont la phobie de se tromper. Ils sont tellement encadrés, "brainwashés" et donc convaincus qu'il n'y a qu'une seule vraie méthode qu'ils sont incapables de penser en dehors de la boîte, en dehors de la procédure.
Ça fait des jeunes super organisés, connaissant et efficaces, mais si peu créatifs, débrouillards et adaptés à l'imprévu.
Exemple, aujourd'hui, nous étions des supers-héros, du moins, pour le matin. Les jeunes adorent ça, nous aussi. Je suggère de garder la thématique pour l'après-midi.
Réponse spontanée de mon partenaire ?
"Mais là, nos jeux ne sont pas de la bonne thématique !"
Parce que simplement modifier les noms des jeux ne se pouvaient pas...
Autres exemples, je planifie une semaine de camp avec plusieurs personnes, dont des gens du PEI. La grille donnée a une erreur, je suggère donc de prendre la grille de l'année dernière, puisque c'est la même, sans erreur, simplement avec une année différente.
Réaction unanime et spontanée ?
"On peut pas, il faut prendre cette grille là !
-Oui, mais elle a une erreur...
-On doit prendre celle-là !"
Incapable de simplement être accepté de changer une année. De prendre une initiative.
Je suis habituée de faire mes choses en demandant le moins d'aide possible aux coordonnateurs, je sais qu'ils sont débordés. Mon partenaire doit vouloir les appeler 5 à 6 fois par jour.
Pour être sûr de ne pas se tromper, de ne pas avoir tort.
J'étais comme cela aussi avant, je me guéris.
Tout ça pour dire que se tromper, surtout au camp de jour, ce n'est jamais la fin du monde. Au pire, tu te trompe et tu ne recommences plus. Je trouve se syndrome très dommage, parce que ce sont des jeunes extrêmement brillants qui ne savent pas comment réagir dans le vrai monde... Je trouve ça triste que les enseignants du PEI n'encouragent pas plus l'autonomie (du moins, là où j'allais, lorsque j'y allais) afin de ne pas perdre l'intelligence de ces jeunes. Parce que l'intelligence, ce n'est pas simplement la connaissance d'un sujet, c'est aussi d'être capable de réagir aux imprévus, d’interagir avec les autres et de mettre en pratique ce que l'on sait...
jeudi 23 juin 2011
Camp de jour !
Hey hey !
Je ne vous avais pas écrit depuis longtemps. Ma fin de session a été vraiment, vraiment, vraiment exigeante. Ensuite, comme le théâtre et le basket était fini, je n'avais plus grand chose à vous dire... J'ai finalement démissionné de la maison d'édition émergente peu après vous avoir écrit, leur désorganisation était trop compliquée pour moi.
Je suis maintenant aménagée chez l'Amoureux, nous avons notre maison à nous, dans notre petite banlieue, j'ai même une auto maintenant (une brave tercel 98 qui répond au nome de BBQ Jane)! On vit très bien le fait d'être dans notre petit cocon.
Je devrais vous donner plus de nouvelle, les camps de jour commencent lundi prochain ! J'ai tellement hâte. Cette année, je suis dans les parcs, ce qui veut dire : sortie tous les jeudis, enfants qui sont là sur une base volontaire, pas de boss qui te surveille tout le temps... La belle vie, quoi !
J'ai rencontré ma partenaire. Une jeune fille de 16 ans (moi qui en ai eu 21 dimanche dernier...) pour vous dire, le dernier été qu'elle a passé au camp de jour était mon premier été d'animation, au même endroit. Je me suis sentie tellement, tellement, tellement vieille. Je suis dans les animatrices les plus âgées, ce qui donne le droit à de drôles de discussions des fois...
Comme la fois où j'ai embarqué la partenaire de Grand Frisé (qui travaille aussi pour les camps de jour), et qu'elle ne savait pas qu'il fallait barrer sa porte, elle n'avait connu que les barrures automatisées.
Et hier, ma partenaire m'a demandé :
"Comme tu n'as pas l'air climatisée dans ton auto, est ce que tu as le chauffage ?"
Non... Cet hiver, je vais partir un feu...
On se reparle bientôt !
Je ne vous avais pas écrit depuis longtemps. Ma fin de session a été vraiment, vraiment, vraiment exigeante. Ensuite, comme le théâtre et le basket était fini, je n'avais plus grand chose à vous dire... J'ai finalement démissionné de la maison d'édition émergente peu après vous avoir écrit, leur désorganisation était trop compliquée pour moi.
Je suis maintenant aménagée chez l'Amoureux, nous avons notre maison à nous, dans notre petite banlieue, j'ai même une auto maintenant (une brave tercel 98 qui répond au nome de BBQ Jane)! On vit très bien le fait d'être dans notre petit cocon.
Je devrais vous donner plus de nouvelle, les camps de jour commencent lundi prochain ! J'ai tellement hâte. Cette année, je suis dans les parcs, ce qui veut dire : sortie tous les jeudis, enfants qui sont là sur une base volontaire, pas de boss qui te surveille tout le temps... La belle vie, quoi !
J'ai rencontré ma partenaire. Une jeune fille de 16 ans (moi qui en ai eu 21 dimanche dernier...) pour vous dire, le dernier été qu'elle a passé au camp de jour était mon premier été d'animation, au même endroit. Je me suis sentie tellement, tellement, tellement vieille. Je suis dans les animatrices les plus âgées, ce qui donne le droit à de drôles de discussions des fois...
Comme la fois où j'ai embarqué la partenaire de Grand Frisé (qui travaille aussi pour les camps de jour), et qu'elle ne savait pas qu'il fallait barrer sa porte, elle n'avait connu que les barrures automatisées.
Et hier, ma partenaire m'a demandé :
"Comme tu n'as pas l'air climatisée dans ton auto, est ce que tu as le chauffage ?"
Non... Cet hiver, je vais partir un feu...
On se reparle bientôt !
lundi 21 mars 2011
TC
Salut !!
Ça fait un certain temps...
Ces derniers temps, et pour les 13 prochaines semaines, je travaille dans les écoles pour une maison d'édition. C'est un projet irréaliste, qui ne va pas chercher les élèves du secondaire, et la maison d'édition est mal organisée au possible, mais bon, ça paie bien.
Tout ça pour dire que je travaille dans deux écoles secondaire. Dans une classe offrant une formation semi-spécialisée, l'autre, dans une classe de TC.
J'ai déjà voulu aller en adaptation scolaire, je suis contente de ne pas avoir fait ce choix finalement...
Le plus grande difficultée que je rencontre ne vient pas tant des problèmes des élèves, mais bien de leur mentalité. Combien de fois ai-je entendu un jeune me dire: "C'pas grave, mes parents m'ont dit que je toucherais un chèque comme eux, plus tard". C'est triste, tellement triste. Comment faire avancer ces élèves-là ? Surtout que je ne suis là qu'une ou deux heures semaines... Je ne suis pas une enseignante du secondaire, encore moins en adaptation scolaire...
Autres exemple ? Un jeune de 14 ans que ces parents permettent de travailler dans le vieux port, de nuit 25hre semaines... Et pas parce qu'ils sont en difficultés financière, juste parce que "ça forge le caractère". Il est en classe de trouble de comportement, a un niveau de sixième année et est celui qui a le plus d'éducation de sa famille nucléaire. Ce qui m'attriste le plus, c'est sa volonté de réussir malgré tout, même si personne chezz lui l'encourage...
Bref. Des fois, je me dis qu'il faudrait un permis pour être parent...
Ça fait un certain temps...
Ces derniers temps, et pour les 13 prochaines semaines, je travaille dans les écoles pour une maison d'édition. C'est un projet irréaliste, qui ne va pas chercher les élèves du secondaire, et la maison d'édition est mal organisée au possible, mais bon, ça paie bien.
Tout ça pour dire que je travaille dans deux écoles secondaire. Dans une classe offrant une formation semi-spécialisée, l'autre, dans une classe de TC.
J'ai déjà voulu aller en adaptation scolaire, je suis contente de ne pas avoir fait ce choix finalement...
Le plus grande difficultée que je rencontre ne vient pas tant des problèmes des élèves, mais bien de leur mentalité. Combien de fois ai-je entendu un jeune me dire: "C'pas grave, mes parents m'ont dit que je toucherais un chèque comme eux, plus tard". C'est triste, tellement triste. Comment faire avancer ces élèves-là ? Surtout que je ne suis là qu'une ou deux heures semaines... Je ne suis pas une enseignante du secondaire, encore moins en adaptation scolaire...
Autres exemple ? Un jeune de 14 ans que ces parents permettent de travailler dans le vieux port, de nuit 25hre semaines... Et pas parce qu'ils sont en difficultés financière, juste parce que "ça forge le caractère". Il est en classe de trouble de comportement, a un niveau de sixième année et est celui qui a le plus d'éducation de sa famille nucléaire. Ce qui m'attriste le plus, c'est sa volonté de réussir malgré tout, même si personne chezz lui l'encourage...
Bref. Des fois, je me dis qu'il faudrait un permis pour être parent...
mardi 22 février 2011
Citation du mois
Ma grand-mère, 70 ans :
"Je suis tellement fière de toi et ton frère. Grand Frisé fait de brillantes études en science, et toi, ton amoureux a une bonne job"
Voilà.
Je me demande pourquoi j'étudie.
"Je suis tellement fière de toi et ton frère. Grand Frisé fait de brillantes études en science, et toi, ton amoureux a une bonne job"
Voilà.
Je me demande pourquoi j'étudie.
lundi 21 février 2011
Je déménage !!
Pas mon blogue, moi, physiquement !!
Bon, ce n'est pas tout de suite, mais simplement en juin... Mais j'ai déjà commencé tranquillement.
En effet, l'Amoureux, se rendant compte du temps qu'on passait ensemble, du temps que je passais chez lui et du ménage que j'y faisais, à proposer que j'habite officiellement avec lui...
Je suis tellement heureuse !!
En même temps, j'ai peur, c'est sûr. J'ai peur qu'on ne soit pas capable de vivre ensemble (quoique je dors chez lui 6 jours sur 7 et que je suis presque toujours dans sa maison...). J'ai peur de ne pas être prête à partir de chez, de ne pas arriver à me sentir chez moi.
Voyez-vous, l'Amoureux habite chez lui depuis déjà deux ans, alors c'est sûr qu'il est déjà meublé et tout... En plus, il ne déménage pas, nous ne choisissons pas un "chez-nous", c'est "chez-lui" et va devenir "chez-nous". Ça me va, c'est juste que ça m'angoisse un peu, c'est tout.
Cette fin de semaine, c'est devenu très concret soudainement... Nous avons magasiné, acheté et installé ce qui manquait pour la salle de bain, afin que chacun est de l'espace. Et alors que je faisais du ménage avec lui, et que je pliais nos vêtements, il m'a dit que je pouvais tout laisser chez lui, au lieu de ramener les vêtements que j'avais chez ma mère. Il m'a humblement céder la moitié de ses cintres et deux tirroirs de commode.
HIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!
C'est devenu plutôt réel.
Alors je suis emplie d'un mélange d'anticipation, d'excitation et d'angoisse.
Je ne vous ai pas parlé beaucoup de l'Amoureux, mais c'est réellement une soie. Le gars le plus gentil, serviable, ouvert, honnête et généreux qu'il soit. Alors, il fait vraiment tout pour que je me sente chez moi, chez lui, pour ça devienne chez nous. Je vais avoir un bureau, nous allons prendre mon lit... Bref, mes angoisses ne sont pas du tout fondées sur son comportement lié à ce que j'emménage.
Mes angoisses sont surtout fondées sur son seul défaut vraiment dérangeant: sa timidité.
Comme il est très timide, il n'est pas très expressif, alors que je le suis beaucoup. Je ne sais jamais s'il est vraiment enthousiaste à ce que je viennes chez lui, s'il a des craintes, s'il est heureux, s'il est d'accord avec ce que je propose... Bref, il veut que je sois heureuse, donc il est d'accord...
(Comme mon papa... Maudit sois-tu, Freud !!)
Mais bon, en fin de semaine, j'ai voulu avoir une franche discussion avec lui. J'ai presque su ce qu'il en pensait, parce qu'il est doué pour détourner la conversations sur ce que je pense ou ce que je vis... Comme pourquoi je suis plus inquiète de devenir indépendante que de vivre avec lui (j'ai du lui expliquer que comme nous vivons pas mal déjà ensemble, simplement que je ne paie pas, c'est la partie financière qui m'inquiète, comme je sais déjà à quoi m'attendre pour la cohabitation).
Donc, vous, vous feriez quoi pour qu'il me parle de ce qu'il pense, lui ? Parce ce que je suis un peu démunie... Je ne suis pas tant douée pour lire entre les lignes et les questions directes sont détournées...
Bon, ce n'est pas tout de suite, mais simplement en juin... Mais j'ai déjà commencé tranquillement.
En effet, l'Amoureux, se rendant compte du temps qu'on passait ensemble, du temps que je passais chez lui et du ménage que j'y faisais, à proposer que j'habite officiellement avec lui...
Je suis tellement heureuse !!
En même temps, j'ai peur, c'est sûr. J'ai peur qu'on ne soit pas capable de vivre ensemble (quoique je dors chez lui 6 jours sur 7 et que je suis presque toujours dans sa maison...). J'ai peur de ne pas être prête à partir de chez, de ne pas arriver à me sentir chez moi.
Voyez-vous, l'Amoureux habite chez lui depuis déjà deux ans, alors c'est sûr qu'il est déjà meublé et tout... En plus, il ne déménage pas, nous ne choisissons pas un "chez-nous", c'est "chez-lui" et va devenir "chez-nous". Ça me va, c'est juste que ça m'angoisse un peu, c'est tout.
Cette fin de semaine, c'est devenu très concret soudainement... Nous avons magasiné, acheté et installé ce qui manquait pour la salle de bain, afin que chacun est de l'espace. Et alors que je faisais du ménage avec lui, et que je pliais nos vêtements, il m'a dit que je pouvais tout laisser chez lui, au lieu de ramener les vêtements que j'avais chez ma mère. Il m'a humblement céder la moitié de ses cintres et deux tirroirs de commode.
HIIIIIIIIIIIIIII !!!!!!
C'est devenu plutôt réel.
Alors je suis emplie d'un mélange d'anticipation, d'excitation et d'angoisse.
Je ne vous ai pas parlé beaucoup de l'Amoureux, mais c'est réellement une soie. Le gars le plus gentil, serviable, ouvert, honnête et généreux qu'il soit. Alors, il fait vraiment tout pour que je me sente chez moi, chez lui, pour ça devienne chez nous. Je vais avoir un bureau, nous allons prendre mon lit... Bref, mes angoisses ne sont pas du tout fondées sur son comportement lié à ce que j'emménage.
Mes angoisses sont surtout fondées sur son seul défaut vraiment dérangeant: sa timidité.
Comme il est très timide, il n'est pas très expressif, alors que je le suis beaucoup. Je ne sais jamais s'il est vraiment enthousiaste à ce que je viennes chez lui, s'il a des craintes, s'il est heureux, s'il est d'accord avec ce que je propose... Bref, il veut que je sois heureuse, donc il est d'accord...
(Comme mon papa... Maudit sois-tu, Freud !!)
Mais bon, en fin de semaine, j'ai voulu avoir une franche discussion avec lui. J'ai presque su ce qu'il en pensait, parce qu'il est doué pour détourner la conversations sur ce que je pense ou ce que je vis... Comme pourquoi je suis plus inquiète de devenir indépendante que de vivre avec lui (j'ai du lui expliquer que comme nous vivons pas mal déjà ensemble, simplement que je ne paie pas, c'est la partie financière qui m'inquiète, comme je sais déjà à quoi m'attendre pour la cohabitation).
Donc, vous, vous feriez quoi pour qu'il me parle de ce qu'il pense, lui ? Parce ce que je suis un peu démunie... Je ne suis pas tant douée pour lire entre les lignes et les questions directes sont détournées...
mercredi 9 février 2011
Journée Maladie
Aujourd'hui, je prends une journée maladie. (Ben, prendre, c'est un grand mot... Je suis étudiante, alors je fais pas mal ce que je veux...) Je me sens misérable... Qu'est ce que je trouve dans mon congélo ?
De la pâte à biscuit !!!
Biscuits frais faits + chocolat chaud...
Ce n'est pas idéal pour la grippe, mais c'est le meilleur remède pour le moral !
De la pâte à biscuit !!!
Biscuits frais faits + chocolat chaud...
Ce n'est pas idéal pour la grippe, mais c'est le meilleur remède pour le moral !
mardi 8 février 2011
Coucou !
Ça fait longtemps...
Disons simplement qu'il n'y avait rien d'intéressant à dire... Mais je vous ai lu !!
Je recommence donc en douceur, avec une anecdote de la nouvelle saison de basket...
Mes petits sont tellement énervé qu'ils ne jouent pas, ils jasent ensemble en courant... Exaspérée (ça fait 15 fois que je les averti), je lance : "Hey, suffit ! C'est pas l'heure du thé, allez au jeu !"
Un jeune me demande, ingénu : "Mais pourquoi tu parle d'alphabet?"
...
La soirée a été loooongue, il va sans dire.
À bientôt pour vrai !
Disons simplement qu'il n'y avait rien d'intéressant à dire... Mais je vous ai lu !!
Je recommence donc en douceur, avec une anecdote de la nouvelle saison de basket...
Mes petits sont tellement énervé qu'ils ne jouent pas, ils jasent ensemble en courant... Exaspérée (ça fait 15 fois que je les averti), je lance : "Hey, suffit ! C'est pas l'heure du thé, allez au jeu !"
Un jeune me demande, ingénu : "Mais pourquoi tu parle d'alphabet?"
...
La soirée a été loooongue, il va sans dire.
À bientôt pour vrai !
samedi 4 décembre 2010
vendredi 19 novembre 2010
Les pots
Pourquoi je ne suis pas faite pour vivre seule ?
Je suis incapable d'ouvrir un pot... Ça va faire 15 minutes que j'essaie d'ouvrir celui de salsa.
J'en ai besoin pour une fête ce soir.
J'ai hâte que ma maman revienne...
Je suis incapable d'ouvrir un pot... Ça va faire 15 minutes que j'essaie d'ouvrir celui de salsa.
J'en ai besoin pour une fête ce soir.
J'ai hâte que ma maman revienne...
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